Le GR 3 débute à la base du
mont Gerbier de Jonc, en Ardèche, à
1414 m d’altitude. Le mont lui-même est
un suc phonolithique de 7 millions d’années qui culmine à 1551 m dans les monts
du Vivarais, au sein du parc naturel régional des Monts d’Ardèche.
C’est au pied de ce dôme volcanique que le plus grand fleuve de France, la Loire, prend sa source. Ou plutôt ses trois sources : la géographique, la véritable et l’authentique. Il s'agit en fait de trois sources situées au pied du mont Gerbier de Jonc, formant trois petits ruisseaux qui se rejoignent très vite et qui forment la Loire.
C’est au pied de ce dôme volcanique que le plus grand fleuve de France, la Loire, prend sa source. Ou plutôt ses trois sources : la géographique, la véritable et l’authentique. Il s'agit en fait de trois sources situées au pied du mont Gerbier de Jonc, formant trois petits ruisseaux qui se rejoignent très vite et qui forment la Loire.
Viviane et moi
faisons un tour au magasin de la source géographique, dans l’écurie d’une
ancienne ferme où le fleuve alimente un simple abreuvoir.
Peu de monde sur le site. Sur la plateforme, quelques boutiques se
décident à ouvrir…
A 9h15, je commence à randonner
sur le GR 3 qui, de concert avec le GR 73 et le GR 420, suit la route départementale
pendant quelques kilomètres, en s’en écartant de temps en temps, en alternance
avec des raccourcis. Je rencontre un couple de randonneurs qui cheminent avec
un âne.
A la cote 1399, les GR quittent la route et montent dans un pâturage, longeant une clôture en lisière. Ils atteignent le lieu-dit Croix de Moutouse (1460 m). C’est le point de jonction avec la variante principale du GR 7 (sentier Vosges-Pyrénées). Le GR 3 bifurque vers le sud, tandis que le GR 420 et le GR 7 font route au nord.
Les cueilleurs de champignons hantent la forêt. J’en croise un qui a récolté trois sacs de bolets et qui a bien du mal à regagner son lieu de départ. Il va probablement les revendre, mais il m’assure qu’il en gardera un sac pour sa consommation personnelle !
Dans un océan de genêts, bordé par les alisiers et les sorbiers des oiseleurs, le sentier se sépare de la variante du GR 7 et s’engage entre le suc de la Lauzière et le suc de Séponet ; il passe à 1487 m d’altitude avant de sortir du parc naturel régional.
A la cote 1399, les GR quittent la route et montent dans un pâturage, longeant une clôture en lisière. Ils atteignent le lieu-dit Croix de Moutouse (1460 m). C’est le point de jonction avec la variante principale du GR 7 (sentier Vosges-Pyrénées). Le GR 3 bifurque vers le sud, tandis que le GR 420 et le GR 7 font route au nord.
Les cueilleurs de champignons hantent la forêt. J’en croise un qui a récolté trois sacs de bolets et qui a bien du mal à regagner son lieu de départ. Il va probablement les revendre, mais il m’assure qu’il en gardera un sac pour sa consommation personnelle !
Dans un océan de genêts, bordé par les alisiers et les sorbiers des oiseleurs, le sentier se sépare de la variante du GR 7 et s’engage entre le suc de la Lauzière et le suc de Séponet ; il passe à 1487 m d’altitude avant de sortir du parc naturel régional.
Les bolets ne sont pas seuls sur
les bords du chemin. L’amanite tue-mouche
est bien présente. Sa consommation
entraîne des effets secondaires (hallucinogènes) et peut provoquer des troubles
gastro-intestinaux suivis de troubles nerveux.
A l’intersection avec la D 122, je
retrouve Viviane qui m’attend à bord de notre fourgon camping-car Ducato.
Alors que je m’apprête à faire une sieste après le repas, un homme frappe à la porte. C’est un cueilleur de champignons qui s’est perdu. On essaie de repérer sur la carte l’endroit d’où il vient, et Viviane va le raccompagner. Donc, je continue à marcher ! Belle vue sur les hauts plateaux parsemés de sucs volcaniques. Après un passage sur route, le GR 3 descend par un chemin érodé dans un talweg, franchit le Gage sur une passerelle et continue à flanc dans les prés jusqu’à la ferme de Verden où Viviane est stationnée.
Alors que je m’apprête à faire une sieste après le repas, un homme frappe à la porte. C’est un cueilleur de champignons qui s’est perdu. On essaie de repérer sur la carte l’endroit d’où il vient, et Viviane va le raccompagner. Donc, je continue à marcher ! Belle vue sur les hauts plateaux parsemés de sucs volcaniques. Après un passage sur route, le GR 3 descend par un chemin érodé dans un talweg, franchit le Gage sur une passerelle et continue à flanc dans les prés jusqu’à la ferme de Verden où Viviane est stationnée.
Comme le balisage se poursuit sur
route, nous le suivons en Ducato sur 2,5 km. Puis je continue à pied,
contournant le suc de Cherchemus. Des fragments de bombes volcaniques sont
visibles dans une ancienne carrière.
Par la suite, le sentier descend puis dévale vers le lac d’Issarlès. Le balisage du GR mène au camping de la commune du Lac-d’Issarlès et le traverse. Viviane s’y est déjà installée. Je la retrouve à 17h. On domine le lac, ses eaux calmes et reposantes. Ce lac s’est formé dans un maar (cratère volcanique), un des plus profonds de France. Plus tard, la lune va venir agrémenter ce tableau romantique.
Par la suite, le sentier descend puis dévale vers le lac d’Issarlès. Le balisage du GR mène au camping de la commune du Lac-d’Issarlès et le traverse. Viviane s’y est déjà installée. Je la retrouve à 17h. On domine le lac, ses eaux calmes et reposantes. Ce lac s’est formé dans un maar (cratère volcanique), un des plus profonds de France. Plus tard, la lune va venir agrémenter ce tableau romantique.
Après le repas dans le
camping-car, nous jouons au rummikub, ainsi que tous les jours suivants.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire