Au matin, nous sommes de
retour à Condamine.
Après avoir recherché la continuité du sentier, je m’engage sur le plateau. Un surplomb rocheux domine la Loire : panorama sur le plan d’eau, l’île et le barrage de Grangent.
Après avoir recherché la continuité du sentier, je m’engage sur le plateau. Un surplomb rocheux domine la Loire : panorama sur le plan d’eau, l’île et le barrage de Grangent.
Le sentier, caillouteux,
descend en sous-bois puis dessine un lacet avant d’aboutir au fond
du vallon formé par le ruisseau de Grangent.
La
forêt est silencieuse, seulement troublée par le chant d’un
troglodyte qui sautille de fourrés en fourrés et les alertes
stridentes d’un geai.
Après
un aller-retour dû à une erreur de parcours, je franchis le
ruisseau par une passerelle et m’engage par une rude montée sur
l’autre versant. Je sors de la forêt et débouche sur le château
de la Baraillère.
L’itinéraire
se poursuit essentiellement sur une petite route, grimpe sur une
colline et redescend par un large chemin. Il franchit un pont sur
l’ancienne voie ferrée et parvient au hameau d’Asnières.
En
aval du barrage de Grangent, la Loire a quitté les gorges pour
gagner la plaine du Forez.
Dans le hameau, je retrouve Viviane qui joue avec un chien en lui lançant un ballon par-dessus le mur de la propriété. La dame qui habite là lui a vendu des œufs et lui a donné des légumes que nous allons emporter. Nous mangeons sur place dans le camping-car, puis je fais une sieste. A mon réveil, la pluie se met à tomber…
A cause de la pluie violente, je ne continuerai pas. Nous retournons au camping de Bébieux.
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